Une longue marche dans les plaines de Naboo.

Molak Ba'al marchait donc des ces plaines, la nuit était passée, il ne savait toujours pas ce qui s'était passé la nuit dernière, sa mère était morte, il ne refrettait point, il était tout de même reconnaissant face à ses sacrifices, mais elle aussi s'était retourné contre lui.
Il ressentait de l'amertume envers tous ces traîtres qui lui avait tourné le dos, il ne voulait pas que son ami meurt, enfin pas vraiment, il n'était plus vraiment sur, peut-être le jalousait-il depuis toutes ces années sans le savoir ?
Il continuait de marcher, sans vraiment de but..

Il ne reconnut pas l'homme, à vrai dire, il se sentait perdu, et décida donc d'avancer vers l'homme, sur ses gardes.

- Bonjour.

L'homme l'avait reconnu, son apparence intriguait Molak Ba'al.

- Comment connaissez-vous mon nom, et qui êtes vous ?

Etrangement, le jeune Twi'Lek laissa l'étrange homme s'approcher de lui.

- Oui je suis troublé, je n'arrive pas à expliquer un évènement récent, vous parlez d'agir, comment ça ?

Il rigole ironiquement suite aux premiers mots, puis se calme, d'un froid glacial.

- Je l'ai compris moi-même, j'ai étranglé ma mère, je ne sais comment, je n'ai aucun souvenir. J'ai compris que j'étais différent intérieurement à ce moment-là, vous dites êtres présent pour me guide, comment ?

Il réalise alors que l'homme lui parlait via son esprit, et comprit donc en quoi il était différent.

- Je suis donc une de ces personnes sensible à la Force, c'est ça ? Mais qu'est-ce que ça veut dire ?

Il semble intrigué.

- Mon Maître ? Je croyais que les utilisateurs de la force avait été vaincu.

Il sourit.

- Je vois, cela me permettra donc de maitriser ce don, et donc de faire payer à ses chiens la mort de mes proches ultérieurement.

Il tente de rester impassible lui aussi, mais l'homme peut ressentir de la nervosité, de la colère enfoui en Molak.

- Je comprends simplement mieux les choses vis-à-vis de mon exil, je veut les voir souffrir, leur retirer ceux à qui ils tiennent lentement, leur faire vivre ce que ma famille a vécu.

Il sursauta à l'apparition de la voix.

- Je ne souhaite pas mourir, je veut les détruire, jusqu'au dernier, tout leur retirer, lentement, qu'ils sentent la peur les submerger.
Qui êtes vous ?

Etrangement, il semble sourire, comme si il voulait montrer quelque chose.

- Soit alors, je vais vous montrer.